Le reporting, et le reporting financier en particulier, tiennent leur complexité :
- de l’agrégation de données disparates venant souvent de jeux de tables différents (soldes bancaires, prêts / emprunts, lignes de crédit…),
- du continuel besoin d’évolution des rapports. Un rapport simple peut vite devenir un rapport complexe (et si on ajoutait le découvert max sur les 30 derniers jours à la liste des comptes ?),
Ceci conduit souvent à une complication de la requête sous-jacente et à des problèmes de performance.
A ces besoins j’essaie d’apporter dans la mesure du possible une réponse réactive et une compréhension des besoins utilisateurs présents et des évolutions futures probables.
Je travaille aussi toujours le volet performances autant que faire se peut, en optimisant les requêtes et en m’appuyant sur les index existants.
Pour des raisons historiques, je travaille beaucoup sur des rapports pour le logiciel de trésorerie Quantum édité par FIS. C’est un bon logiciel de trésorerie pour les Corporates et il offre une bonne capacité de reporting avec Crystal Reports.